#WeAreNinkasi
  • Lieu
    Ninkasi Gratte Ciel
  • Début 21h00
  • StyleConcert
  • TarifGratuit
Ven. 17 mars 2023

SAINT PATRICK : TREVOR KING

Au Ninkasi, Saint-Patrick ne débarque pas seul mais bien accompagné de Sainte Barrique, fameuse gardienne des bons whiskies et des bonnes bières. Ces deux joyeux lurons nous ont inspiré un mois entier de festivités bien gourmandes et vous allez voir, cette année encore : tous les fûts sont au vert ☘ Sur nos scènes : un quiz de la Saint-Pat’, un Karaokéchorale spécial Patrick et bien sûr un grand concert ou spectacle de danse celtique dans tous les Ninkasi le vendredi 17 mars, évidemment.

Tout commence dans une petite ville du comté de Galway, en Irlande. La musique est omniprésente, à la maison, dans les rues, bande son d’une enfance paisible en famille. Les clips de Nirvana passent à la télévision, et Trevor achète son premier album : Back in Black d’ACDC. A 8 ans, casque sur les oreilles, le lecteur de cassettes dans les mains, les premières notes de Hells bells retentissent… Les dés étaient lancés, les jeux étaient faits. Trevor fait ses premières armes à la batterie, c’est un ado des années 80, il navigue facilement entre Metallica et les Pet Shop Boys, il est aussi DJ à ses heures perdues, dans un bar de sa ville natale. C’est aussi l’époque des groupes de musique entre copains, des répétitions dans les garages des uns et des autres. Ensuite, départ pour la ville, Galway, puis pour la capitale, Dublin, où il passe 6 ans. La musique est de plus en plus présente : toujours en tant que batteur, il enregistrera plusieurs albums et EP avec son groupe, et ils seront à l’affiche en première partie de Aslan. Une vie à mille à l’heure, rythmée par les concerts et les enregistrements. Bande son de l’époque : Fleetwood Mac, Dandy Warhols, The Pixies, Smashing Pumpkins, Foo Fighters, Daft Punk. En 2011, il quitte l’Irlande direction la France, avec dans ses bagages sa batterie. Chris Rea, the Alan Parson Project, Tool et Diana Ross, Tracy Chapman l’accompagnent sur les routes françaises. En 2013, il pose ses valises (et sa batterie) en Lozère, où il joue quelques années dans un groupe local. Un jour, un peu par hasard, il se retrouve avec une guitare dans les mains. Juste pour voir, pour essayer. Comme tout ado, il avait gratté un peu, mais sans réel plaisir ni envie. A 35 ans, c’est la révélation, à partir de là, il ne lâchera plus la guitare. Premiers accords joués, premières paroles chantées, il débute et cherche sa voix/voie avec les BeeGees, REM, Pink Floyd et quelques mythes irlandais comme The Pogues et Christy Moore. Il débute les concerts guitare-voix en 2017, d’abord en première partie, puis rapidement il planifie ses propres dates : ainsi naît Trevor King Live. Très vite, il développe et fait évoluer sa setlist dans un registre pop/rock/folk, tout en travaillant sa voix et sa technique. Au fil des années il s’est construit un univers feutré et intimiste qui lui est propre, en gardant toujours à cœur de proposer une setlist pointue, qui lui ressemble. Aujourd’hui sa voix gravite autour de Morrissey, Noel Gallagher, Eric Clapton ou encore Neil Young. Loin des ambiances survoltées, il propose une atmosphère propice aux mélodies et aux ballades entêtantes, où l’on se remémore souvenirs et moments de vie autour d’une reprise d’Oasis, de Tracy Chapman ou de Pink Floyd.